PAUL CHAUCHARD (1912-2003)
PENSADOR CATÓLICO
Paul Chauchard fue un médico, investigador, filósofo y profesor francés. Casado con Jacqueline Chauchard, fue padre de seis hijos, entre ellos una religiosa.
Paul fue neurofisiólogo, Doctor en Medicina y Doctor en Ciencias, impartió clases en la Facultad de Ciencias de la Sexualidad, de la que fue uno de sus fundadores, en la Universidad Católica de Lovaina (Bélgica), así como en la École Pratique des Hautes Études de París, donde fue Director de investigaciones. Como neurofisiólogo fue un destacadísimo investigador de la naturaleza y los mecanismos del cerebro humano, dando a conocer sus conclusiones en una obra de divulgación publicada en 1960.
Fue el primer Presidente de la asociación antiabortista, pionera en Francia, "Laissez-les-Vivre - SOS Futures Mères" (http://laissezlesvivre.com/), permaneciendo en ese puesto durante 20 años y siendo después Presidente honorario. Su esposa Jacqueline colaboró permanentemente con él en la formación de grupos de educación para el matrimonio. Padre de 6 hijos, incluyendo una religiosa cisterciense, fue un verdadero ejemplo de vida familiar y profesional, y como cristiano dedicó su vida al servicio de la sociedad.
Científico y humanista, interesado en la obra del filósofo y antropólogo P. Teilhard de Chardin (1881-1955) y autor de muchos trabajos publicados, Paul se dedicó durante años a difundir sus conclusiones en reuniones y encuentros con jóvenes matrimonios y parejas de novios, contando como colaboradores con su esposa Jacqueline y con matrimonios de médicos de Paris, Lyon, Nantes y Lille: Drs. Chanson, Van der Stappen, Guy y Rendu.
Autor de más de 80 libros entre los que destacan: Alma o Cerebro, Qué es el Hombre, El cerebro y la Conciencia, El Cerebro y la Mano Creadora, Necesitamos Amar, El Ser Humano según Teilhard, El Equilibrio Sexual, El Progreso Sexual, Por un Cristianismo sin Mitos, y muchos más.
Desde su condición de neurofisiólogo realizó un esfuerzo extraordinario a favor de la vida, y una buena parte de su obra la dedicó al estudio de la sexualidad humana. La sexualidad humana es fruto de la educación a través del control cerebral y emocional cuya sede se encuentra en el cerebro prefrontal. El cerebro prefrontal es el órgano de la reflexión y de la libertad. Necesitamos amar y ser amados. Es todo un proceso de liberación y crecimiento, a veces difícil, que nos sitúa en una humanización plena y rica. Decía Paul “que la libertad era el control de nuestros determinismos, entre ellos el instinto sexual. La libertad no nos la conceden sino que la ganamos desde dentro. Las relaciones sexuales que se adelantan a la dimensión espiritual, buscando el placer en primer lugar, vuelven al hombre insensible ante el verdadero amor que necesita ser prioritario para existir”.
Otro pensamiento de Paul hacía ubicarnos en la sexualidad humana: "Dependiente de la genética y de las hormonas que nos dan nuestra morfología, la sexualidad humana se convierte en una virilidad o una feminidad cerebral psicosocial, ampliamente independiente de lo biológico a través de lo cual ha nacido; de aquí la necesidad de aceptar la norma del acuerdo equilibrado entre lo biológico y lo psicosocial".
Cuando el papa Pablo VI en 1968 publicó la Encíclica Humanae Vitae que muchos simplificaron en un “no a la píldora contraceptiva” ignorando que se trataba era de la humanización del amor conyugal y de la sexualidad y por lo tanto de una sana educación para el diálogo conyugal, Paul dedicó a Pablo VI, un precioso libro titulado “Voluntad y sexualidad”.
Para ahondar en la línea de pensamiento de Paul se transcribe en francés la Documentación y testimonio del profesor Paul Chauchard del 11 de julio de 1996. Dice así:
Cher ami,
J’ai été très heureux de lire votre excellent témoignage si adapté à faire comprendre l’Eveil à l’Occident, dans sa vraie tradition, grâce à l’Orient authentique. Vous indiquez bien la vraie pensée-pratique judéo-chrétienne, si mal comprise. Je conçois qu’un orthodoxe soit d’accord. C’est la méditation à l’icône, la résurrection du Christ glorieux. C’est donc bien volontiers que je vous envoie ce texte introductif.
Bien amicalement,
Paul Chauchard.
Communication du professeur Paul Chauchard :
Santé, sagesse, sainteté : faire sourire nos orteils crispés de tous nos stress, comme redonner sa prairie à la vache folle de l'orgueil ignorant des technocrates, la bonne viande et le bon lait de la vache qui rit aimée de son maître. Comment le comprendre pour le pratiquer ? Comment un Occidental pourrait-il bien le pratiquer, s'il le dénature en un record diabolique de promotion de son faux ego ? N'est-ce pas aller contre le progrès, la civilisation — assimilée à l'Occident — qui a permis le développement économique du Japon ? Cependant, celui-ci comprend les valeurs de sa tradition et envoie en Occident ses missionnaires zen. En fait, si l'Orient ne doit pas tomber dans les erreurs de l'Occident, l'Occidental ne doit pas rechercher à mal devenir un Oriental. L'Orient bien compris doit lui permettre de retrouver la vraie tradition, c'est-à-dire à cesser de dénaturer le spirituel transcendant en le coupant de la matière, en séparant Dieu du monde, l'âme du corps, l'homme de la série animale dont il est le fleuron évolutif. Un paradoxe : devoir réincarner le christianisme, remettre le transcendant dans l'immanent. Telle fut la base de mon amitié et de ma collaboration avec Deshimaru, étonné et heureux de rencontrer un scientifique occidental spiritualiste, non dualiste, au moment où précisément des neurologistes japonais montraient scientifiquement le meilleur fonctionnement du cerveau de moines zen authentiques. Neurophysiologiste, je me veux neuropédagogue. L'homme n'est pas mal fait, un malade ayant besoin de pilules ; il est mal élevé, car il n'a pas appris à utiliser son magnifique cerveau. Nous disons « cérébral » pour l'intellectuel ou le spirituel perdu dans ses pensées et soucis, oublieux de son corps qu'il déséquilibre dans l'angoisse, les peurs, qui n'est pas présent dans l'instant au monde, à son corps, aux autres. Il se croit éveillé s'il ne dort pas, ignorant que l'énervé est dans un faux éveil ; le vrai éveil étant un optimum basé sur la détente, le calme, la paix intérieure, ce qui est mieux réalisé dans la vigilance hypnotique de la sophrologie. L'attention exige le refus de la tension, la volonté est à l'opposé du volontarisme. Sans être philosophes, nous suivons Descartes qui sépare l'âme du corps et l'animal-machine de l'homme spirituel, qui majore la froide raison coupée de l'affectif dévalué, ce qui est oublier le cerveau droit au profit du gauche. Sa devise : « Je pense, donc je suis », alors qu'il serait juste et vrai de dire : « je sens, je contrôle mon imagination, mon vagabondage cérébral (Vittoz), j'agis consciemment, donc je suis, non dans un faux ego imaginaire, dévalué ou majoré, mais le vrai ego de la simple image cérébrale de mon corps. » Ce n'est pas un faux matérialisme privant le cerveau de sa fonction spirituelle, mais la vraie réalité unitaire où le spirituel informe, organise le matériel, cette juste pensée d'Aristote reprise d'une façon œcuménique par le musulman Averrhoès, le juif Maïmonide et le chrétien Thomas d'Aquin. Faire en soi l'harmonie du psychique et du somatique unifiés en faisant de ce centre de la base du cerveau qu'est l'hypothalamus, le maître, non de la folie du corps, fatigue nerveuse, mais celui de la sagesse du corps dans la paix et la joie. Cela, c'est savoir s'aimer, s'amoriser et amoriser, dit le biologiste mystique Teilhard de Chardin, recevoir et renforcer l'énergie cosmique qui est amour. En s'ouvrant dans la méditation sur le monde, on ne se perd pas dans un grand tout anonyme, mais on se ressource dans le mystère du grand courant évolutif de complexification, de conscientisation et d'amorisation qu'il faut aider et non freiner. Réaliser en soi le vrai bonheur, c'est par des techniques corporelles se mettre dans le vrai bonheur, qui, d'après Teilhard, est de se centrer sur soi, grandir, se décentrer sur l'autre, aimer et se surcentrer sur plus grand que soi, adorer. Accord dans le silence des vrais mystiques symbolisé par la rencontre d'Assise où, sans confusion, se retrouvaient en étant mieux eux-mêmes tous les spirituels du monde, au service de la paix, autour du Pape et du Dalaï Lama.
Grâce à Daniel Lazennec et à l'Orient, l'Occidental retrouve la Présence, gravit la « Montagne de Paix ».
Docteur Paul Chauchard, directeur honoraire de l'École Pratique des Hautes Études - La Sorbonne - Paris.
Recuerdo el momento, decía el padre agustino Carlos Prieto González, que el Dr. Chauchard comenzó a ser importante en mi formación humana y cristiana. La lectura de dos de sus libros: El equilibrio sexual (1971) y El progreso sexual (1964), me ofreció una clave luminosa con vistas a la educación para el amor humano y también para la vocación de célibe consagrado o sacerdote.
Para ser libres hemos de aprender a hacer el uso del freno y acelerador en nuestra conducta.
El padre Prieto hace algún tiempo hizo alguna consulta al Dr. Chauchard bajo el título: Claves para la educación en el amor y aquí se transcriben dos preguntas con sus respuestas.
Padre Prieto González.. -Sabemos que la adolescencia empieza con la pubertad y está marcada no por el comienzo de la sexualidad sino por el despertar de las funciones genitales con la posibilidad fisiológica de la satisfacción. Dr. Chauchard, ¿podría indicarnos cuál es el alcance de este despertar de la sexualidad en la adolescencia y su correcta orientación
Dr.Chauchard.-Supuesta su formulación sobre la adolescencia, lo primero que he de afirmar es que incitar al adolescente a ejercitar lo más pronto posible su sexualidad es lo mismo que decirle que no pertenece a la especia humana, sino que es un chimpancé. No hay en esto ninguna paradoja sino una conclusión biológica objetiva. Uno de los caracteres distintivos de la superioridad humana es que el ser humano está retrasado en su desarrollo. Un mono pequeño y un hombre pequeño al nacer son seres inacabados. Pero el mono madurará pronto; primero en lo que respecta a su cerebro, luego en su organismo. A los 6 u 8 años la pubertad les ha hecho adulto. Es conforme a su naturaleza que se acople a partir de este momento en que sus sanos instintos entran en acción completados por la imitación de los adultos de mayor edad. Por el contrario, el hombre con su cerebro más completo y más vacío dispondrá de mucho más tiempo para amueblarlo y aprender a servirse de él. En esa larga maduración que obliga a la educación, la pubertad no marca ya el estado adulto como en el animal sino el comienzo de un posterior periodo de inmadurez, el más importante quizá para ser un verdadero adulto.
Ciertamente es cosa normal que el adolescente y el joven experimenten la tención de autosatisfacerse agradablemente de forma solitaria. Pero no se acierta a ver que esta masturbación es la gran responsable del prejuicio masculino del no-dominio sexual .El adolescente no tiene que desesperarse por haber sucumbido sino que sabrá que lucha contra una tendencia mala que le impide crecer y que luchando se prepara a ser un hombre plenamente idóneo para un matrimonio feliz.
Padre Prieto González.- La continencia necesita de un aprendizaje o pedagogía. ¿Podría concretarnos el ejercicio a seguir?
Dr.Chauchard.-Ya hace muchísimo tiempo que los verdaderos moralistas, los que no predican un moralismo frío y negativo, los que no cierran los ojos a la realidad, han renunciado a dar recetas, prefiriendo explicitar las condiciones de vida que favorecen el esfuerzo de la castidad: una vida regular, orientada hacia los demás, el deporte, donde el narcisismo es combatido por la sana camaradería colectiva. Pero hay momentos en que la tentación es demasiado fuerte. La mejor buena voluntad se halla desarmada y la responsabilidad muy atenuada: un sueño, una imprudencia en lecturas o espectáculos…es una razón para no tener escrúpulos desequilibrantes, pero tampoco para instalarse en un mal hábito. Hay que saber que está en las posibilidades de nuestro cerebro sustraernos a la tentación calmando nuestros órganos sexuales genitales mediante ejercicios varios de descondicionamiento. No se trata de excitarse para calmar la sexualidad. Se trata una vez más de haber pasado por el adiestramiento psicofísico para el autodominio general no sexual. El que ha aprendido una técnica del dominio (yoga, relajación, método vittoz, respiración controlada) posee en sí mismo la posibilidad de aplicarla a la relajación sexual.
Paul fue un destacado luchador Pro-Vida, que dedicó muchísimos años junto a su esposa a la formación cristiana para el matrimonio, que fue un prolífico escritor, con una reconocida vocación de universalidad, nos dejó un mensaje, a través de su visión Teilhardiana, de una belleza exquisita, en Necesitamos Amar: “En este universo inmenso, sobrecogedor y hostil, hemos descubierto un sorprendente secreto: lo esencial reside en las atracciones organizadoras que permiten una complicación y una centración cada vez mayores que no se pueden explicar más que por una energía de amor. Lo que cuenta no es el absurdo, lo incoherente, lo horrible, que salta a los ojos, es, al contrario, la existencia de un significado. El mundo está en evolución, es decir está en construcción en el curso de los siglos, progresa. La naturaleza es como una obra o también, sean cuales sean las causas y los mecanismos, como una ascensión de amor desde lo inanimado a lo unicelular y de esto al hombre. Desde entonces, un universo así, que ha pasado por todo a través de mil contingencias y quizás por innumerables tentativas, hasta llegar a nosotros, que no somos quizás los únicos seres amantes del cosmos, no podría ser contemplado fríamente. Hechos para el amor, hemos sido hechos por una obra de amor. Podemos complacernos en este universo, pese a todo, de donde hemos salido. No somos ya en él un accidente extraño y extranjero; pese a nuestra pequeñez, nuestro papel es esencial, pues se trata de un logro consciente, de un ascenso en el amor donde este mismo amor se vuelve persona reflexiva y comunidad de personas…. Este universo amorizante para quien, como Teilhard de Chardin, se debe contemplar lúcidamente, nos da un mensaje. La tarea de la naturaleza no ha llegado a una obra completa, ha producido un ser capaz de acabarla. Al universo de los órganos útiles modelados por la evolución biológica de la vida creadora de formas, sucede el universo de los útiles y de la técnica humana…. Toca ahora a los hombres emplear su inteligencia para emplazar todo su corazón en la construcción del mundo”.
A continuación se reporta las obras que se pueden adquirir en español:
La muerte (1947). Ed. Paidos. Buenos Aires, 1960
Alma o cerebro, qué es el hombre (1971), Iberoamericanas, S.A.
Biología y moral (1964), Fax.
El cerebro y la conciencia, Ediciones Martínez Roca, Barcelona, 1968
El cerebro y la mano creadora (1972), Narcea, S.A. de Ediciones.
La moral del cerebro (1965), Euramérica, S.AConocimiento y dominio de la memoria (1985), Ediciones Mensajero, S.A. Unipersonal.
El dominio de sí mismo (1970), Ediciones Guadarrama, S.A.
La educación de la voluntad (1983), Editorial Herder, S.A.
La fatiga (1971), Oikos-Tau, S.A. Ediciones.
Fuerza y sensatez del deseo (1974), Editorial Herder, S.A.
Hipnosis y sugestión (1971), Oikos-Tau, S.A. Ediciones.
El Humanismo y la ciencia (1962), Razón y Fe, S.A.
El mensaje de Freud (1973), Fax.
Moral y medicamentos: psicología y ética de la medicación (1967), Ediciones Morata, S.L.
Necesitamos amar (1969), Editorial Herder, S.A.
Por un cristianismo sin mitos (1963), Fontanella, S.A.
El progreso sexual (1964), Fontanella, S.A.
Nuestros handicaps sexuales, Ediciones Iberoamericanas, Madrid, 1968
La sexualidad (1967), Fontanella, S.A.
El equilibrio sexual (1971), Fontanella, S.A.
La vida sexual (1973), Oikos-Tau, S.A. Ediciones.
Voluntad y sexualidad (1971), Editorial Herder, S.A.
Amor y anticoncepción (1967), Fax.
Timidez, voluntad, actividad (1996), Ediciones Mensajero, S.A. Unipersonal.
Trabajo, diversión e higiene mental (1970), Fax.
Vicios de las virtudes. Virtudes de los vicios (1966), Fax.
El ser humano según Teilhard de Chardin (1972), Editorial Herder, S.A.
La creación evolutiva (1966), Ed. Fontanella, S.A.
Zen y cerebro. (Coautor: Taisen Deshimaru), Editorial Kairós, S.A., 2005.
Sociedades Animales, Sociedad Humana (1960), (1962), (1963) Editorial Universitaria de Buenos Aires.
Chauchard defendía la búsqueda de lo espiritual desde el cuerpo, desde los sensorial, desde técnicas corporales de aumento de la consciencia, que van hacia lo ideal y desde la tranquilidad de la mente y por ende del cuerpo. Nos hablaba de la sociedad, de la imaginación, de la moral, del autocontrol, del aumento de la autonomía y como colofón, Paul defendía que en nuestro cerebro hay una tendencia natural hacia lo espiritual ideal y que es desde el cuerpo la única forma de acercarse a este ideal que es la comunión y el encuentro con lo originario, con el cosmos, con la idea de Dios. Decía y defendía que la verdadera FE está en la síntesis, en la unión del sentimiento y la razón, equilibrio que lleva lucidamente hacia la realidad del conocimiento de uno mismo y de los demás que es ese IDEAL del interior de las cosas.
Paul Chauchard era católico, científico, pero sobre todo humanista, era una de las voces que hacen que gente vuelvan a plantearse ciertas cosas que están en clarísimo peligro de perderse. Paul confirmaba que el Zen es una psicotécnica que armoniza el cuerpo con el cosmos. En la complejidad del cerebro humano está la condición material de los espiritual; toda disociación debe rechazarse. La comunión con el cosmos, base de la filosofía oriental, resulta ser, desde el punto de vista de la ciencia occidental, una prodigiosa energía ascendente, una energía de amor.
TOMADO DE:
http://es.wikipedia.org/wiki/Paul_Chauchard
http://www.zenvekidjo.com/documentation.php
http://democraciaparticipativa.net/forum/3-otras-regiones-y-temas--other-regions-a-topics/3401-paul-chauchard-su-obra-cientifica-humana-y-cristiana.html#forumtop
http://ocultosenremedios.blogspot.mx/2008/10/ciencia-y-espiritu-paul-chauchard.html
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